Initiative sur les loups
Au début du mois de mai l'initiative sur le loup a été lancée https://www.wolfsinitiative.ch/fr . Elle demande l'adaptation de la Constitution fédérale selon les deux points suivants
Au début du mois de mai l'initiative sur le loup a été lancée https://www.wolfsinitiative.ch/fr . Elle demande l'adaptation de la Constitution fédérale selon les deux points suivants
Le 8 juin 2023, le Conseil des Etats décidera de l'entrée en matière sur le contre-projet relatif à l'initiative sur la biodiversité. ChasseSuisse et la Fédération Suisse de Pêche vous prient de bien vouloir entrer en matière sur ce projet.
Selon l'OFEV, l'entrée en vigueur de la loi et de l'ordonnance révisées est prévue pour l'été 2024. Le département compétent n'est pas pressé, car une révision spécifique de l'ordonnance fédérale sur la chasse visant à réguler le loup pour l'été alpin 2023 vient d'être achevée avec une solution correspondante. Nous devrions recevoir le projet de consultation du DETEC pour la nouvelle révision de l'ordonnance à l'automne 2023.
La nouvelle loi sur la chasse instaure des règles claires pour la régulation d’espèces protégées et accroît ainsi la sécurité pour les animaux, la nature et les hommes. Elle encourage en outre la diversité des espèces, grâce au soutien que la Confédération accorde aux milieux naturels pour la protection des animaux sauvages. ChasseSuisse, l’Union suisse des paysans, le Groupement suisse pour les régions de montagne et de nombreuses autres organisations et institutions soutiennent les modifications apportées à la loi.
Le bureau de ChasseSuisse est régulièrement confronté à des questions liées aux problèmes de la chasse à l’étranger. Il faut toujours s’informer.
De nombreux chasseurs suisses participent à des chasses à l’étranger dans les régions limitrophes. Il faut obligatoirement se conformer aux règlementations en vigueur.
Position commune de ChasseSuisse et de la Conférence des services de la faune, de la chasse et de la pêche CSF
ChasseSuisse s’engage depuis des années à ce que les animaux protégés, en particulier le loup et le lynx, soient soumis, comme les espèces chassables, à une gestion systématique et que leur cheptel soit régulé de manière à qu’il reste gérable pour la population concernée et que des dommages aux animaux domestiques et de rente ainsi qu’aux infrastructures puissent être évités.
Le 24 août 2016, le Conseil fédéral a lancé la procédure de consultation sur la révision de la loi sur la chasse. Cette révision doit permettre la régulation de populations de certaines espèces protégées qui sont sources de conflits, lorsqu'il y a risque de dommages importants ou de danger concret pour l'homme, en dépit de mesures de prévention. La consultation durait jusqu'au 30 novembre 2016.
Les résidus de munitions au plomb dans le gibier tiré peuvent empoisonner ou tuer les charognards comme l'aigle royal ou le gypaète barbu. Au cours de ces dix dernières années, des empoisonnements au plomb, un métal lourd, ont été constatés à plusieurs reprises chez des aigles royaux retrouvés morts
ou malades dans les Alpes, ce que prouve une étude de la Schweizerische Vogelwarte Sempach et du service de la chasse et de la pêche du canton des Grisons.
En Suisse, conformément à la stratégie énergétique 2050, l'énergie éolienne doit être étendue massivement pour atteindre une puissance annuelle de 6 TWh (soit 10% des besoins actuels en courant). Cette multiplication par soixante de la puissance actuelle ne pourra être obtenue que si les forêts et d'autres zones sensibles sont inclues dans les sites de production énergétique. Cela occasionne des conflits croissants avec la population concernée et la protection des paysages. Cela renforcera encore davantage les effets négatifs sur la faune qu'on observe déjà aujourd'hui massivement.
Par principe, nous tenons à souligner que ChasseSuisse s'engage en priorité pour les affaires liées à la chasse en Suisse. Nous ne nous exprimons donc que de façon restrictive sur la chasse à l'étranger.
ChasseSuisse a publié des recommandations pour l'utilisation d'appareils photographiques spéciaux pour le gibier en janvier 2013 et a expressément attiré l'attention sur le respect de la loi sur la protection des données. Dans sa réponse à la demande du conseiller national Rossini du 12.02.2014, le Conseil fédéral a d'ores et déjà annoncé qu'il est prévu d'interdire, à la prochaine occasion, les pièges photographiques à des fins cynégétiques dans l'ordonnance sur la chasse.
Les mesures pour la prévention et compensation de dommages causés par la faune sauvage sont fondamentalement de la compétence des cantons. Les dommages par la faune sauvage aux cultures agricoles, bétail, forêts et infrastructures sont généralement le résultat d'une faune riche en espèces souhaité avec les populations génétiquement large fusionné. Ils sont une condition préalable pour une biodiversité intacte. Les animaux sauvages appartiennent à l'Etat. Les frais des dommages causés par la faune sont généralement à payer par le budget de l'état général. La participation des chasseurs aux frais est acceptable que pour les espèces chassables et cela seulement si le chasseur ou les sociétés de chasse ne correspondent pas à leurs exigences pour prévenir des dommages causés par la faune sauvage.
L'initiative pour les changements nécessaires des lois et règlements cantonaux font partie des sections cantonales. ChasseSuisse soutient ces initiatives principalement par l'information et la coordination intercantonale.
A partir du 1er décembre 2023, les loups pourront être régulés sur la base de la loi révisée sur la chasse. ChasseSuisse salue cette possibilité de régulation, mais précise clairement qu'il s'agit de l'exécution d'une mesure administrative et non d'une chasse régulière. Si le nombre de loups à réguler dépasse la capacité d'intervention des gardes-faune cantonaux, les cantons devront faire appel à des tiers pour les soutenir dans l’accomplissement de cette tâche. S’il s’agit de chasseurs, ChasseSuisse constate que ceux-ci et les gardes-faune disposent en principe de la même formation de base et que les chasseurs peuvent légitimement être sollicités pour une telle intervention. Celle-ci étant particulièrement spécifique, une formation complémentaire est nécessaire pour les gardes-faune comme pour les chasseurs.
La majorité des Suissesses et des suisses considèrent que la chasse est importante pour les animaux sauvages et leur habitat. Ils estiment qu’elle a un impact positif sur la biodiversité, et qu’elle est nécéssaire pour la prévention des dégâts dû au gibier. Les résultats de l’enquête menée par ChasseSuisse - la faitière des chasseurs du pays - sont toujours positifs. Ils sont toutefois en recul par rapport aux enquêtes précédentes. Une situation qui nous place, chasseresses et chasseurs, face à la responsabilité de mieux communiquer sur l’importance de nos activités.
Les sauveteurs de faons dépendent de leurs appels et viennent volontiers chercher les faons dans les prairies avant la fauche à l'aide d'une caméra thermique.
Un manuel pratique illustré qui t’accompagnera partout pour découvrir la nature et le monde de la chasse avec la famille Mutz.
Depuis le 1er janvier 2023, la Suisse applique la réglementation de l’UE sur les drones. Les pilotes sont soumis à de nouvelles règles pour une uniformisation des dispositions valables dans tout l'espace européen.
Il n'est pas dans l'intérêt des chasseurs de mettre en danger des espèces par la chasse. En revanche, il est un fait que certaines espèces chassables sont mises sous pression dans une nature exploitée de manière intensive – dont la chasse n'est pas la cause. En Suisse, les associations de chasseurs s'engagent depuis de nombreuses années, tant sur le plan pratique que financier, pour le développement des espèces chassables et de leurs habitats.
Avec le label Royal Fox, les Gygax se mobilisent contre la fourrure importée et contre la cruauté vers les animaux.
Le Conseil fédéral a publié l'ordonnance révisée pour consultation.
Samedi 1er février à Thoune, le jury a choisi la représentante officielle de la chasse Suisse 2020-2022 parmi les cinq candidates finalistes.
Le choix s’est porté sur la fribourgeoise Célina Bapst, 28 ans, de Châtel-sur-Montsalvens en Gruyère. Elle est mandatée comme ambassadrice pour représenter la chasse Suisse pendant les deux prochaines années. Elle reprend ainsi le flambeau de l’actuelle ambassadrice de la chasse Suisse, Renate König-Fahrni qui termine son mandat de deux ans.
Depuis 2013, la loi exige que l’on déclare l’espèce animale, la provenance et l’origine de la peau, des fourrures et des produits de la pelleterie.
Le premier parc suisse pour l’accoutumance des chiens de chasse au sanglier – SWGG à Elgg ZH – a ouvert officiellement ses portes le 5 juillet 2019.
À l'initiative de la Communauté de travail pour la forêt, vingt organisations suisses ont élaboré dix petits principes pour profiter de la forêt tout en la préservant.
Ordonnance de l’OSAV (Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires) sur les mesures de sauvegarde contre la propagation de la peste porcine africaine par les échanges d’importation, de transit et d’exportation avec les États membres de l’Union européenne, de l’Islande et de la Norvège
Modification du 17 octobre 2018
A une très large majorité, la population suisse estime que la chasse, telle qu’on la pratique en Suisse, s’inscrit dans une démarche de développement durable et de protection de la faune. La chasse est utile à la diversité des espèces et joue un rôle de défenseur face aux dommages infligés à la forêt et aux champs. ChasseSuisse se félicite des résultats positifs de cette enquête représentative, tout en ayant bien conscience du devoir que cela implique.
La peste porcine africaine (PPA) progresse. Depuis quelques années, des cas de PPA sont régulièrement détec-tés chez les porcs domestiques et les sangliers dans plusieurs pays d’Europe de l’Est, et cette épizootie continue à se propager en direction de l’Europe occidentale.
Les drones sont de plus en plus souvent utilisés et ce, pour des usages les plus variés. Ils pénètrent également dans des zones qui étaient jusqu’alors entièrement à l’abri des nuisances ou presque. Or, les oiseaux et les autres animaux sauvages peuvent considérer les drones comme une menace, ce qui peut accroître leur stress et provoquer leur fuite ou susciter une réaction de défense.
Celui qui ne s'informe pas sur la réglementation applicable avant de franchir la frontière, une arme dans ses bagages, risquera de se mettre dans le pétrin. Lisez, dans la suite, les conseils pour un passage conforme de la frontière.
Quand le chasseur devient le chassé (article traduit de l'allemand, paru dans "Jagd & Natur")
Voyager à l'étranger, avec arme et bagages (article traduit de l'allemand, paru dans "Jagd & Natur")